A PROPOS DE L'OBLIGATION FIDUCIAIRE DU CONJOINT
Ajusteur de Pensée : «Dans un monde parfait, l'amour conduit deux individus à former un partenariat - l'élément constitutif d'une bonne famille. Le seul droit que le Père confère à chaque conjoint est d'aimer et de chérir son compagnon, créant ainsi un environnement favorable à la prochaine génération d'âmes éternelles.
Malheureusement, les partenaires se heurtent dans de nombreuses relations. Ils se servent de leurs mots comme armes, critiquent ou comprennent mal leur partenaire, et infligent de manière moralisatrice des punitions physiques ou émotionnelles, ce qui est bien loin de l'accomplissement de leurs devoirs fiduciaires.
Toutes les relations humaines devraient inclure l'élément de confiance, car le Père vous confie le soin d'être son agent d'amour en action - agissant à sa place en tant que récepteur/transmetteur visible et tangible de tendres soins aimants.
Jésus est intervenu en faveur des droits des femmes chaque fois qu'il a été témoin direct d'une forme de violence conjugale. Même s'il était un homme du royaume, il a établi un précédent clair en promouvant, respectant et honorant la place que les femmes devraient occuper dans toute société fonctionnelle.
Parce que le mariage est une chance égale pour la circulation du véritable amour, il s'agit d'un acte d'équilibre. Les partenariats réussis se concentrent sur les traits attrayants de leur partenaire, tout en faisant preuve de compassion pour leurs inévitables défauts.
La bonne volonté est également une condition préalable à une relation qui marche bien - jamais la mauvaise volonté. Les combustibles fossiles de qualité inférieure que sont les rancœurs et les rancunes pourries sont très volatiles et incapables de rétablir la paix. Des pauses judicieuses font des merveilles pour se vider la tête et protéger les cœurs en danger.
Aimez-vous les uns les autres comme Jésus a aimé tout le monde - avec empathie, compassion et gratitude - en tenant compte de leur ignorance et de leur immaturité émotionnelle.»
Traduction française: Agnès Spencer