CONÇUS AU PARADIS

Ajusteur de Pensée : «Chaque fois qu’un objet est conçu, manufacturé et distribué dans votre monde, une étampe portant les mots ‘Fabriqué au’ suivis de son pays d’origine lui est appliquée. Couramment, également, des brevets sont enregistrés pour les innovations, assurant ainsi que les revenus qu’elles génèrent bénéficieront financièrement en partie à leur ‘inventeur’.

Le Père au Paradis ne fonctionne pas de cette façon. Il ne se targue pas de célébrité, car l’Amour – et non la célébrité – était, est et sera toujours le but de Sa Création Infinie. Le Père partage avec tous – sans discrimination, ni clauses de non-responsabilité. De plus, Il partage Ses Pouvoirs Créatifs avec vous ! Ne pensez-vous pas que vous devriez en faire meilleur usage, plutôt que de chercher la reconnaissance de vos pairs ? La seule reconnaissance précieuse et valable est celle que vous recevez à chaque fois que vous jouez sur leur corde sensible – à la manière de Dieu.

Mes chers, pourquoi vous donnez-vous tant de mal à vous impressionner les uns les autres avec les devises terrestres ? La seule devise cosmique est celle de l’Amour. Elle ne se déprécie pas. Plutôt, elle prend de la valeur à mesure que davantage de créatures contribuent à ce fonds cosmique.

Vous avez été conçus au Paradis ! Cela devrait être votre seule source de fierté. N’est-ce pas suffisant ? Tout le reste devrait découler de cette perception accrue de votre origine. Vous êtes la manifestation d’une pensée aimante et divine survenue lors de ce moment du passé très reculé au tout début des temps. En effet, Tout Ce Qui Est a été conçu au début des temps, lorsque le premier domino fut placé avec amour pour entamer une réaction en chaîne éternelle et infinie d’Amour. N’est-il pas temps de vous regrouper et de contribuer à réaligner les dominos égarés qui se sont tristement séparés du plus grand organisme qui alimente leur existence ? Ce faisant, ils se transformeront par magie en des morceaux colorés d’une mosaïque époustouflante.

Traduction française: David Charbonneau et Agnès Spencer.