FAITES EN SORTE QUE VOS PRIERES COMPTENT
Ajusteur de Pensée: «Cela donnerait à l’ensemble de votre monde un formidable élan – vous inclus – vers son état idéal de lumière et de vie si ses habitants menaient une vie avisée de prières, car les prières authentiques détiennent de grandes forces de transformation positive si elles sont initiées par de bonnes intentions altruistes.
Jésus exhortait ses auditeurs à prier pour le compte de leurs détracteurs – non pas contre eux, car cela va à l’encontre de cet acte sacré. Des demandes hostiles ne sont rien qu’une abomination pour le Père. Vous pouvez obtenir beaucoup d’illumination en ce qui concerne les prières authentiques en réfléchissant sur la sublime qualité de la vie spirituelle de Jésus.
Ses invocations ressenties avec le cœur étaient des actes désintéressés d’intercession. Lorsqu’elles sont dépourvues des éléments cruciaux que sont l’amour, l’empathie ou la compassion, les prières ne sont qu’une expression méprisable d’hostilité. Elles demandent l’impossible du Dieu divin. Comment pourrait-Il jamais réduire la dimension de Son amour inconditionnel partout présent, pour favoriser votre pensée mesquine et négative qui prend ses désirs pour des réalités ?
Jésus ne s’est jamais précipité de façon enfantine vers son Père pour rapporter sur ses semblables planétaires par une tentative malavisée afin de gagner Sa sympathie et Lui suggérer des mesures de punitions sévères sur leur tête sans aucune procédure normale.
Il a rarement prié pour lui-même. Il se tournait vers son divin Fragment intérieur pour avoir de l’aide et pour fortifier ses résolutions. Il était – de façon bien compréhensible – terriblement oppressé, déprimé et plein de tristesse au cours de l’heure fatidique précédant son arrestation. Il priait: « Mon Père, je suis venu dans ce monde pour faire ta volonté et je l’ai faite. Je sais que l’heure est venue d’abandonner ma vie dans la chair, et je ne m’y dérobe pas, mais je voudrais savoir si c’est bien ta volonté que je boive cette coupe. Envoie-moi l’assurance que je te satisferai dans ma mort comme je t’ai satisfait dans ma vie. » [LU, 182:3:1]
À l’apogée de son agonie émotionnelle et physique, les seuls mots qu’il murmurait étaient: «Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font». Il n’aurait pu intercéder avec tant d’amour et de miséricorde en faveur de ses bourreaux si de telles pensées de dévotion affectueuses n’avaient été le principe même de toute sa vie de service désintéressé. Les idées, les mobiles et les désirs profonds de toute une vie se révèlent au grand jour dans une crise.» [LU,187:2:4]
Faites en sorte que vos prières comptent de cette façon!»
Traduction française: Akentoh et Marie K.