LE BÂTON DE DIEU

Ajusteur de Pensée : «Après Sa glorieuse ascension pour retourner au Père, le premier acte de souveraineté de Jésus après avoir été libéré des limites de Son corps physique a été d’accorder Son Esprit vivant de Vérité à tous les êtres de chair. La décision de recevoir avec reconnaissance ce nouveau don puissant ou de le refuser par manque de fondation revenait à chaque individu.

Qu’est-ce que J’entends par là? Il existe deux types d’individus sur votre monde: ceux qui s’efforcent de s’améliorer et d’imiter le comportement aimant du Christ envers tous et ceux qui sont inconscients d’une telle opportunité d’épanouissement de l’âme et qui se livrent à l’amour de soi – un simulacre sans futur de l’Amour.

Tout comme Je suis venu vous habiter à la suite de votre première décision morale, il existe beaucoup d’autres influences spirituelles supérieures qui, avec votre pleine collaboration, vous aideront à améliorer la manière dont vous vivez votre vie. L’Esprit de Vérité est l’une de celles-ci. À l’instar de Moïse qui a séparé la Mer Rouge avec le Bâton de Dieu, l’Esprit de Vérité sépare les eaux troubles de la tromperie et de la confusion des eaux vivantes et pures de vérité et d’illumination.

Pourquoi hésiteriez-vous même un seul instant à accepter un don aussi valorisant? Les êtres humains ont tendance à faire la fine bouche, étant devenus incrédules et méfiants dû à la tromperie générale. Toutefois, vous ne risquez pas d'être trahis par le Divin qui a TOUJOURS votre plus grand bien à cœur. Qu'en est-il de vous ? Avez-vous votre plus grand bien à cœur ? Avez-vous compris ce que c'est ? Sinon, comment pourriez-vous vivre le mieux possible ?

Ne fermez pas les yeux et ne faites pas la sourde oreille devant les clameurs de votre nature spirituelle. L’Esprit désire obtenir toute votre attention pour s’assurer que vous tiriez le maximum de vos jours et que vous mettiez de côté ‘l’argent de départ’ pour votre vie suivante – non pas une de retraite tranquille, mais une de service cosmique accru et joyeux.»

Traduction française: David Charbonneau et Agnès Spencer.